Dans le monde du football, le mot “penalty” est synonyme de tension, de suspense et de moments décisifs. Que ce soit lors d’un match ordinaire ou pendant les tirs au but d’une compétition internationale, le penalty est une situation unique où un joueur se retrouve seul face au gardien de but, avec une chance de marquer un point crucial. Mais d’où vient ce terme ? Quelles sont les règles qui régissent cette action, et quels penaltys ont marqué l’histoire du foot ? Cet article vous éclaire sur tout ce qu’il faut savoir sur les penaltys, ces moments qui captivent les foules et transforment les matchs en véritables légendes.
Définition du penalty
Le penalty, ou tir de réparation, est une sanction attribuée à une équipe lorsque l’une de ses fautes graves est commise dans sa propre surface de réparation. Cette sanction offre à l’équipe adverse une opportunité de tirer directement au but depuis le point de penalty, situé à 11 mètres de la ligne de but. Ce tir se fait sans opposition directe des joueurs adverses, à l’exception du gardien de but.
Le terme “penalty” trouve son origine dans le mot anglais “penalty kick”, qui signifie “coup de réparation”. Introduit dans les règles officielles du football en 1891, le penalty est devenu une composante incontournable du jeu, tant dans les compétitions professionnelles que dans les matchs amateurs.
Aujourd’hui, le penalty est également un élément central dans l’univers des paris sportifs. Il offre des opportunités uniques pour parier sur des moments spécifiques d’un match, comme la réussite ou l’échec d’un tir au but. Pour en savoir plus sur ce type de pari, n’hésitez pas à parier en ligne au MelBet Sénégal, une plateforme reconnue pour ses options variées et son expertise dans le domaine.
Les règles du penalty
Le penalty obéit à des règles strictes, établies par les lois du football. Voici les principales :
- Positionnement : Le ballon doit être placé sur le point de penalty, et le joueur qui effectue le tir doit attendre le signal de l’arbitre avant de frapper.
- Le gardien de but : Ce dernier doit rester sur la ligne de but jusqu’à ce que le ballon soit frappé. Il peut se déplacer latéralement, mais ne doit pas avancer avant que le tir soit effectué.
- Autres joueurs : Les joueurs des deux équipes doivent se trouver en dehors de la surface de réparation, à au moins 9,15 mètres du ballon, jusqu’à ce que celui-ci soit frappé.
- Validité du tir : Le tireur ne peut toucher le ballon une seconde fois avant qu’il ait été touché par un autre joueur.
Toute infraction à ces règles peut entraîner soit un nouveau tir, soit un coup franc accordé à l’équipe adverse.
Les penaltys sont également cruciaux lors des séances de tirs au but, qui déterminent l’issue d’un match lorsque les prolongations n’ont pas permis de départager les équipes. Ce moment de grande intensité est souvent décisif dans les compétitions internationales.
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Les penaltys historiques dans l’histoire du foot
Au fil des années, certains penaltys sont devenus emblématiques, marquant l’histoire du football par leur enjeu, leur exécution ou leur contexte. Voici quelques-uns des moments les plus mémorables :
- Roberto Baggio en finale de la Coupe du Monde 1994 : Lors de la séance de tirs au but opposant l’Italie et le Brésil, Roberto Baggio, l’une des stars italiennes, rate son penalty décisif, offrant la victoire au Brésil. Ce moment est resté gravé dans les mémoires comme l’un des plus tragiques de l’histoire du football.
- Zinedine Zidane en finale de la Coupe du Monde 2006 : Zidane réalise une Panenka audacieuse contre l’Italie, lors de la finale à Berlin. Bien que la France ait perdu ce match, ce penalty est souvent cité comme un exemple de sang-froid et de technique.
- Le penalty de Panenka en 1976 : Antonín Panenka, joueur tchécoslovaque, invente un geste devenu mythique. Plutôt que de frapper en force, il choisit une frappe douce et subtile, lobant le gardien. Ce geste est depuis utilisé par de nombreux joueurs, bien que risqué.
Ces moments ne sont que quelques exemples des nombreux penaltys qui ont marqué l’histoire du football. Ils rappellent que ce geste, bien qu’apparemment simple, est chargé de pression et de symbolisme.